J’ai trois fils, mais aucune fille. Quand mes garçons étaient petits, on me demandait souvent : «Allez-vous continuer d’essayer d’avoir une fille?» Je croyais que ma tête allait exploser. Certains semblaient offensés lorsque je leur répondais que je ne pensais pas avoir d’autres enfants. Comme si en n’ayant eu que des garçons, je perturbais l’ordre naturel de l’univers.
Voici les commentaires (textuels) que j’ai reçus tandis que j’élevais mes garçons :
«Quand ma mère était malade, mes sœurs prenaient soin d’elle. Tes fils ne feront pas ça.» (le père d’une gardienne)
«Je ne veux pas d’autre enfant car je ne veux pas être comme toi.» (une mère de deux garçons qui n’en voulait pas un troisième)
«Oh! Trois garçons! T’en as de la chance!» (un professeur sarcastique à l’école de mes fils, devant mes fils)
Parfois, j’étais sans mot. Parfois, je répondais sur la défensive. Mais avec la clairvoyance de ces années qui sont maintenant derrière moi, j’apprécie désormais la beauté irrépressible, les avantages et les défis d’être mère de garçons.
9 vérités qui s’adressent aux mères qui ont des garçons:
1. Vous êtes leur premier amour.
On ne peut l’ignorer. Vous tombez en amour avec vos fils et ils tombent en amour avec vous de la manière la plus saine qui soit. Ma sœur (une mère n’ayant eu que des filles) s’émerveillait lorsque mes petits garçons m’apportaient des fleurs et caressaient mes cheveux. Ils ont appris comment aimer les femmes – et comment être aimés par les femmes – de vous.
2. Vous êtes leur modèle féminin.
Leur faites-vous part de vos attentes de respect et de gentillesse? Il n’est jamais trop tard pour leur faire savoir que vous exigez d’être bien traitée par eux, par leur père et par le monde en général. Les garçons de mère fortes et laissant paraître une grande estime de soi recherchent des femmes similaires pour partager leur vie – et seront de meilleurs conjoints pour elles également.
3. Vous aurez des regrets.
Je cris. Beaucoup. Dès leur jeune âge, mes fils débordaient d’énergie, tandis que j’avais tendance à avoir la mèche très courte. J’aurais aimé m’accorder plus de temps morts pour reprendre mes esprits.
4. Vous vous questionnerez au sujet de votre fille.
À qui aurait-elle le plus ressemblé? Le chemin non parcouru nous pousse toujours aux «Et si…» Il y aura des moments où vous apercevrez une petite fille et vous vous direz qu’elle aurait pu être la vôtre, puis vous ressentirez un pincement. Ne vous en faites pas, ça va passer. Promis.
5. Vous n’aurez pas à faire face aux drames des jeunes filles.
Oh, l’angoisse! Je suis contente de ne pas avoir eu à naviguer à travers les drames d’une jeune fille. Les ouï-dire, les larmes, les sautes d’humeur. Les garçons viennent avec leur lot de difficultés (croyez-moi), mais ils traversent les montagnes russes de la puberté et de l’adolescence de façon beaucoup plus discrète.
6. Avoir des fils peut vous convenir.
Ça prend des années à le réaliser, mais je sais à présent qu’élever des garçons était l’idéal pour moi. J’aime bien prendre du temps pour moi et les mères de jeunes filles n’en ont pas autant. Quand mon plus vieux était adolescent, il m’a dit : «maman, j’aurais souhaité que tu aies une fille, quelqu’un avec qui tu aurais pu te faire faire les ongles et qui t’aurais tenu plus compagnie.»
Ce qu’il ne réalisait pas, c’était que ces moments étaient mon échappatoire. J’étais bien contente de ne pas avoir à transporter ma progéniture chaque fois que je voulais faire une activité de filles.
7. D’une certaine manière, ils sont plus en sécurité.
Mon fils de 20 ans a pris un taxi Uber durant une soirée. Aurais-je laissé ma fille être conduite par un parfait étranger au milieu de la nuit? Sûrement pas. Certes, les garçons ont leurs façons bien à eux de se mettre dans le pétrin et peuvent aussi être des victimes, mais les filles sont plus sujettes au harcèlement et aux attaques. Je m’inquiète toujours pour mes fils, mais je m’en fais moins (et leur apprendre à respecter les femmes pour que d’autres mères s’inquiètent moins pour leurs filles).
8. Vous ressentirez toujours la même chose à leur égard.
Le bonheur de les regarder dormir. Votre cœur qui sursaute lorsqu’ils entrent dans la pièce. Le frisson maternel que vous ressentez lorsqu’ils vous enlacent. Ils seront toujours vos petits garçons, peu importe leur taille. L’un de mes fils mesure 6 pieds 5 pouces et je vois toujours le même petit gamin quand je le regarde.
9. Acceptez le défi.
Élever des hommes biens est une chose formidable et honorable. Des hommes doux, gentils et nourriciers. Des hommes qui traitent bien les femmes et les enfants. Des hommes qui feront des maris dévoués et aimants. C’est une lourde responsabilité, mais vous êtes à la hauteur. On vous a donné cette opportunité extraordinaire. Jouissez-en. Venez-en à bout. Et récoltez-en les fruits.
Source 9 vérités qui s’adressent aux mères qui ont des garçons: quebec.huffingtonpost.ca
J’ai eu deux garçons et franchement , aucun regret ! de toutes façons , je ne voulais pas de fille ! les garçons c’est sympas , c’est drole , pas prise de tete , pas de jalousie , facile !!! et en plus on reste dans leur coeur à tout moment , meme à l’adolescence , ils vous soutiennet toujours , sont protecteurs , vraiment j’adooooooooore !!! et meme si j’avais du avoir un 3 eme , je revais que ce soit un autre petit gars , meme si eux auraient bien voulu une soeur pour voir … héhéhéh , mais pas moi !!!
J’ai eu une fille et un garçon. Ma fille m’a causé que des ennuis et c’était le feu pis l’eau avec elle. Tandis que mon fils, il vit avec moi et m’a jamais causé d’ennuis.
Wow! Quel commentaire pertinent! On voit votre qualité à être une bonne mère. Votre message est très élogieux envers votre fille! Bravo! Je comprends qu’elle n’ait pas envi de vous côtoyer et de vivre avec vous. Pauvre chouette. Vous savez qu’il y a de l’aide offerte gratuitement au CLSC de votre région? Quand on est mère, il faut savoir prendre ses responsabilités…
Bon et moi qui n’est pas d’atomes crochus avec ma fille de 21 ans (mais alors pas du tout) alors que j’en ai énormément avec mon fils de 17, vous allez vous permettre de me juger de la même manière?
Et s’il vous plait, argumenté avec autre chose que des « et vous ne vous posez pas de questions? »
Car au delà de la pertinence il y a le caractère de chacun, que vous le vouliez ou non et Il ne s’agit pas de ne pas aimer ni de rejeter nos enfants. Par contre que cela vous plaise ou non, personne n’est forcé d’aimer la personnalité de ses enfants (comme celles de ses parents d’ailleurs) et ça n’empêche personne de prendre ses responsabilités que je sache.
J ai les deux à la maison je trouve cela très bien, différent et heureusement !
Penser à toute ces personnes qui ne peuvent pas avoir d enfants avant de faire des commentaires et regarder votre bonheur d être mère
Pour ma part 3 garçons, j’ai le regret de pas avoir pu avoir de fille,quand j’y pense quelque part je me réjouis, car j’ai évitée comme ils disent tout c’est petits problèmes de nana , mais au fond de moi il y a temps de choses que j’aurais pu lui apprendre et tellement de longue discussions que je n’aurais jamais avec personne …..
Je vie l’enfer avec mes 3 garçons ,je les ai élevés seule du mieux que j’ai pu ,mais les enfants ne deviennent jamais comme on aimerait qu’ils soient ……… et pourtant ils sont ma seule raison de vivre ,ma chair et mon sang, je les aime de tout mon coeur malgré le mal qu’ils me font .
Ils ne faut jamais oublier que les enfants sont ingrats .
Mais malgré tout, ceux sont mes enfants peu importe ce qu’ils sont devenus .
Je vien d’une famille avec que des filles et j’ai plutôt bien était élevée mais par contre mon copain vient d’une famille avec que des garçons et je suis très choquer de son éducation à vrai dire que je n’adresse plus la parole à sa mère tellement elle dénigre les femmes pour elle une femme ne doit pas parler, faire le ménage et ouvrir ces cuisses. Elle souhaite à ces garçons d’être des hommes à femme qui couche à droite et à gauche, résultat des nana viennent chez eux pour des plan cul et la mère qui espionne à la fenêtre et rigole. Un jour elle a sorti que mon copain devait aller dans un internat et coucher avec toute les filles la bas. Elle n’a que 2 mots à la bouche sexe et pognon. Aujourd’hui je suis malheureuse d’être avec une personne qui ne me respecte pas. Je félicite ces mères qui éduque bien leurs enfants à bien respecter les femmes. Vous êtes un modèle.