Des physiciens ont peut-être la preuve que l’Univers est une simulation par ordinateur. Alors comment ?
Ils ont fait une simulation informatique de l’univers. Et ça ressemble étrangement à notre monde.
Une longue expérience de réflexion émise par les philosophes et la culture populaire fait ressortir que toute civilisation d’une taille et d’une intelligence suffisantes finirait par créer une simulation de l’univers si une telle chose était possible.
Et comme il y aurait donc beaucoup plus de simulations (à l’intérieur de simulations, au sein de simulations) que d’univers réels, il est donc plus probable que notre monde soit artificiel.
Une équipe de chercheurs à l’université de Bonn en Allemagne dirigée par Silas Beane annonce avoir des preuves qui pourraient affirmer cela.
Dans un billet intitulé «Contraintes sur l’univers en tant que simulation numérique», ils soulignent que les simulations actuelles de l’univers (qui existent, mais qui sont extrêmement faibles et petites) mettent naturellement des limites sur les lois physiques.
Technology Review explique que «le problème de toutes les simulations est que les lois de la physique, qui paraissent continues, doivent être superposées sur un réseau tridimensionnel discret qui progresse par étapes du temps ».
Pour définir cela grossièrement, c’est qu’en étant simplement une simulation, l’ordinateur définirait des limites, par exemple, l’énergie que les particules peuvent avoir dans le programme.
Ces limites seraient ressenties par ceux qui vivent cette simulation ; et il s’avère que quelque chose qui ressemble à ces limites existe bel et bien.
Par exemple, quelque chose connu sous le nom de Greisen-Zatsepin-Kuzmin, ou GZK, est une limite apparente de l’énergie que les particules de rayons cosmiques peuvent avoir. Ceci est causé par l’interaction avec le fond diffus cosmologique. Mais Beane et le co-auteur argumentent que le modèle de cette règle reflète ce que vous pourriez attendre d’une simulation par ordinateur.
Naturellement, à ce stade, la science devient assez difficile à parcourir ; et nous vous conseillons de lire le document lui-même pour essayer d’obtenir tous les détails de l’idée.
Mais l’impression de base est intrigante et passionnante.
Comme un prisonnier dans une cellule noire, nous ne serons peut-être jamais en mesure de voir les «murs» de notre prison ; mais grâce à la physique, nous pouvons les toucher.
Source : The Huffington Post
c’est bien ce que je me disais….ca y resemble tellement…et toute la numerologie s’expliquerait….;-)(gématrie etc etc)