Si votre relation manque de l’une de ces 7 choses alors ce n’est peut-être pas le véritable amour
Ainsi notre bonheur, notre bien être ne vient pas de ce que nous possédons, ni de ce que nous faisons mais de comment nous le vivons ! notre relation avec les êtres, les activités et les choses.
Thomas d’ Ansembourg
Au tout début d’une relation amoureuse, nous avons souvent l’impression que nous allons passer le restant de notre vie aux cotés de cette personne que nous connaissons à peine, tout simplement parce nous sommes dans le feu de l’action.
Cependant, lorsque nous entrons dans cette période de romance, d’histoires d’amour ou de désir charnel, nous prenons souvent l’habitude d’évoluer en nous éloignant l’un de l’autre, et nous nous familiarisons ainsi avec la manière que chacun fonctionne.
Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose en soi, cela signifie simplement que « la » personne qui est faite pour vous se trouve là-bas quelque part.
Si vous avez entamé une nouvelle relation et que vous ressentez que votre amour est vrai et réel, vous devriez constamment rester attentif à ces signes d’alerte.
Si votre relation manque de l’une de ces 7 choses alors ce n’est peut-être pas le véritable amour :
1. L’absence de paix
Si la personne avec qui vous êtes n’a nullement en elle cette paix intérieure, vous pourriez vous attendre à de constantes explosions de rage et de colère.
Souvent les gens qui n’ont pas de paix en eux ne savent pas contrôler les choses qu’ils disent, ni la façon dont ils se sentent, ou même leurs actes. Beaucoup d’autres choses malsaines peuvent provenir d’un manque d’équilibre du Soi. Vous pourriez vous retrouver à craindre le pire quand votre conjoint est dans l’incapacité de se retenir.
2. Le manque de confiance
Manquer de confiance n’est pas l’idéal lorsque vous entrez dans une relation prématurée. Le véritable amour vainc toutes ces insécurités ou du moins, il le devrait, étant donné qu’une relation est généralement une occasion pour grandir.
Nous avons tous nos insécurités, cependant, si elles sont tout le temps précaires, vous pourriez vous attendre à voir ces émotions se refléter sur vous.
3. Le manque d’optimisme
Une personne qui n’est jamais optimiste a de fortes chances de déprimer à l’avenir. Vous pourriez penser que cela est quelque chose que vous pouvez simplement corriger, mais honnêtement, c’est quelque chose que votre conjoint doit entièrement surmonter par lui-même.
Vous devez trouver de la joie dans votre amour, ce qui signifie que vous devriez tous les deux trouver la joie dans l’expérience de la vie commune. C’est une mentalité très importante à adopter, surtout si votre conjoint est constamment négatif lorsqu’il est à vos côtés, car vous pourriez probablement vous attendre au pire.
4. Le manque de courage
Si la personne avec qui vous êtes manque de courage, alors comment voulez-vous faire preuve de bravoure face au monde? Allez-vous être celui qui vous défendrez constamment tous les deux ainsi que votre vie commune ensemble?
Il est important de réévaluer votre définition du courage et ce que le courage signifie vraiment pour vous, surtout lorsqu’il s’agit de situations importantes. Il arrivera un temps où l’autre devra faire ses preuves et il se pourrait qu’il n’y ait pas de chemin retour pour son manque de courage.
5. L’absence d’espoir
Si la personne avec qui vous êtes n’a aucun espoir en elle, alors comment pouvez-vous vous attendre à ce qu’elle soit en mesure de se consoler sans être co-dépendante ou entièrement dépendante de vous.
Il n’est pas sain pour une personne de constamment ressentir une telle émotion négative ou de ne pas du tout avoir d’espoir. La vérité est que, la vie devrait être une expérience heureuse pour tous les deux en tant que couple.
6. Le manque d’esprit d’aventure
Si la personne avec qui vous êtes n’est pas de nature curieuse, vous pourriez de plus en plus vous lasser d’elle et avoir beaucoup de mal à écouter ses désirs et ses besoins.
L’envie d’explorer de nouveaux territoires inconnus ensemble est l’un des sentiments les plus merveilleux que l’on puisse partager avec l’autre. Surtout si la personne avec qui vous êtes ne fait pas ressortir l’enfant qui sommeille en vous, alors il est fort probable qu’elle ne soit pas faite pour vous.
7. Le manque de bonheur
Votre bonheur ensemble est le dernier signe d’alerte majeur. Si vous n’êtes tous les deux pas heureux dans les moindres petits détails de votre relation, alors comment voulez-vous unir vos efforts pour l’autre au moment voulu, et aller au-delà du stress et du chagrin qui peuvent découler des relations?
Vous devez regarder au plus profond de vous-mêmes pour vraiment savoir ce que signifie le bonheur pour vous et ensuite aspirer aux objectifs que vous vous fixez de manière romantique et indépendante.
J’espère que cet article vous a aidé à identifier certains des problèmes principaux que vous pourriez avoir dans votre relation et qu’il vous a éclairé sur les détails subtils de l’amour véritable.
Au-delà de la rencontre amoureuse, j’ appelle relation d’ amour un partage inconditionnel où celui qui aime peut accueillir et amplifier l’ amour de l’ autre et offrir le sien sans réticence ni limite.
Jacques Salomé
Sandar véringa
La personne qui a écrit ces foutaises ignore tout de la vie de couple.
Espoir et désespoir sont de même eau. Un prémisse de la véritable initiation consiste à abandonner ce leurre de masse.
Bonheur est comme Malheur, une bonne heure ou une mauvaise heure, et si vous voulez l’un sans l’autre vous êtes un ignorant . Siddharta l’a dit il y a bien longtemps, pour décrire la voie du milieu: « Soit vous acceptez plaisir et souffrance, soit vous refusez les deux »
L’esprit d’aventure est directement proportionnel à votre compte en banque, et donc si vous êtes salarié, vous pouvez faire une croix dessus.
Le courage, je vais en donner cette définition, qui n’est pas de moi, mais qui vous fera peut être un peu plus réfléchir:
« Le courage est une fabuleuse envie de vivre malgré une apparente indifférence devant la mort »
et la mort spirituelle, elle est bien dans le « métro boulot dodo » que l’on vous propose en guise d’idéal de vie, dès votre plus jeune âge, c’est là que la lutte commence déjà, elle sera très brève pour la majorité d’entre nous.
L’optimisme la confiance et la paix, ne proviennent que de votre degré d’autonomie et d’indépendance vis à vis des contraintes sociales, et donc soit vous êtes né, avec une cuillère en argent dans la bouche et l’article ci dessus vous convient comme un gant puisque vous êtes un fils de petit bourgeois, désoeuvré, mais qui se la joue façon « Nicolas, tarte à la crème », soit vous êtes noyé dans le troupeau inconscient et vous tentez , contre vents et marées de maintenir votre individualité et vos aspirations ; et donc, je crois que cet article ne s’adresse qu’aux gens de la première catégorie, c’est à dire une infime majorité de ce qui constitue le peuple français.
Vous avez des oeillères et une vision de la vie très restreinte !
Il n’y a pas que 2 catégories de personnes, tout le monde ne décide pas de suivre le troupeau de manière inconsciente ! Il y en a qui se batte pour garder leur liberté, la vrai ! La liberté de pouvoir choisir son travail, de pouvoir vivre ces rêves quand on le souhaite, et de pouvoir dire merde aux contraintes sociales que vous vous imposez.
je fais partie de ces gens, je suis née au seins d’une famille plus que banale et j’ai aujourdui un rythme de vie que beaucoup envie. Comment ? Parce que j’ai choisis un métier qui me passionne et ai évoluer sur un bon poste, je me suis donner les moyens d’en arriver là, j’ai investie de mon temps pour aujourdui arriver à ce confort de vie et cette liberté !
Donc arrêtez de croire que l’esprit d’aventure est proportionnel à votre compte en banque, l’aventure peut se vivre chaque jours si vous décidez de casser un peu votre rythme « boulot métro dodo ».. Sauf que ce rythme au fond vous rassure et personne n’a le COURAGE de changer ça. Alors ne vous plaignez pas, nous avons la vie que nous nous sommes construite ! Chacun est responsable de ces choix…
Le Secret du bonheur
Chaque jour dans notre vie quotidienne nous sommes face à des choix et nous avons l’impression qu’ils sont différents à chaque fois, mais en y regardant bien ce sont les mêmes. Ils sont basés sur l’image que l’on a de soi. Nous nous identifions à des personnages, une identité que l’on se donne en fonction des situations vécues. Parfois je suis un père, une mère une autre fois un mari, une épouse ou un amant et une maîtresse, un ami/e, un/e ouvrier/e ou un/e patron/ne, un/e élu/e… Je m’identifie à chaque fois à la personne correspondant à la situation que je vis.
Avec le temps je m’aperçois que ces choix quelque soit la situation et malgré tout ces personnages auxquels je m’identifie sont identiques. Que ce soit l’enfant, l’adolescent et plus tard l’adulte au travers de l’étiquette que je me colle a pour unique but de combler un manque. Enfant j’étais a la recherche d’un père car le mien m’avait abandonné, de l’affection de ma mère trop occupée à ramener à la maison le pain quotidien, adolescent je souhaitais plus de liberté, une aventure amoureuse et adulte, un travail, une voiture… le besoin de m’affirmer par manque de reconnaissance. Je suis constamment en quête de ce quelque chose qui semble m’apporter le bonheur ou éliminer ce qui m’empêche de l’avoir.
Alors pourquoi se référer à une base identitaire erronée ???
Quand j’arrive au monde je n’ai aucune conscience que le petit être que je suis est séparé de ce qui l’entoure, je n’éprouve aucun manque car je suis complètement un avec mon environnement. Je n’ai absolument pas conscience que je suis quelque chose séparé de son expérience. Je suis juste une pure conscience vivant une expérience sans me rendre compte que je suis la conscience même qui vit cette expérience. Il n’y a pas de manque, je suis complet.
Cela dure un certain temps jusqu’à ce que, mon cerveau se développant, je perçoive mon environnement au travers de mes sens. Un son puis un autre et encore un autre, ce qui va m’amener à commencer à me différencier de ce que j’entends, puis de ce que je vois, de ce que je touche et goûte. En prenant conscience de mon corps qui est ma première base identitaire je me sépare du tout, créant un espace avec le cadre dans lequel je suis. Et plus l’espace entre ce je suis et la représentation que je me fais de mon monde extérieur sera grande plus le manque sera grandissant. De surcroît, les besoins physiologiques de part ma nature humaine accentuent la séparation. Le temps qui sépare la faim que j’éprouve du moment ou je vais pouvoir la combler augmente ma frustration et le manque durera jusqu’à ce que je puisse manger, m’apportant ainsi le bonheur et le sentiment d’être à nouveau entier.
Durant l’enfance et par la suite notre adolescence tout ce que nous allons vivre va nous conforter au fait que ce qui sépare le manque du bonheur est la recherche permanente des moyens par lequel je peux l’obtenir. Le désir, cette tendance à vouloir s’approprier quelque chose qu’on n’a pas, dont on pense ou sent ou croit qu’elle nous procurera un plaisir, ou même ce bonheur que je recherche tant. Ce bonheur qui me donnera le sentiment d’être à nouveau complet, comme au premier jour de ma naissance.
« Ce qu’on n’a pas, ce qu’on n’est pas, ce dont on manque, voilà les objets du désir et de l’amour. » – Platon
Désir et besoin, tous deux marquent le manque ou l’absence. Nous considérons ces deux notions comme identiques. Ils sont cependant bien distinct. Nous avons besoin de nourriture pour vivre et lorsque notre corps à faim nous désirons manger. Selon cette affirmation, le besoin relèverait du corps et le désir de l’esprit. Et lorsque nous avons satisfait nos besoins nous n’avons plus de désir. Si le désir est lié au besoin, il est donc aussi ce qui s’y oppose en le satisfaisant, et par là en le détruisant. De sorte que le besoin apparaît comme étant pure négativité, tandis que le désir est un élan positif vers un accroissement ou du moins une conservation de soi. Il est l’intermédiaire entre le manque et la satisfaction. Le désir n’est donc pas, comme le besoin, un simple manque : il est ce qui permet de combler ce manque, puisqu’il est à la fois conscience du besoin, et élan vers la satisfaction. Mais le désir ne peut par définition être comblé selon Platon. Une fois que l’on obtient ce que l’on désire, on est de nouveau insatisfait, et on se met à désirer autre chose. Ainsi, ce n’est pas cette chose précise que je désirais. Mais quoi ? Le bonheur ?
Toute ma vie est basée sur le fait que je ne peux être heureux seulement quand j’ai obtenu ce que je désire et je construis ma base identitaire sur cette idée peu importe le costume que je revêts. Je veux obtenir ce que je désire car je suis persuadé que cela m’apportera le bonheur et me permettra de retrouver mon unité. Que ce soit dans notre vie sociale, professionnelle ou amoureuse c’est la même démarche, je ne fais aucun autre choix que celui là sans me rendre compte que cela ne marche pas.
Le bonheur n’est pas dans le but ni même dans le chemin qui y conduit mais dans ce que l’on est. Le bonheur est la joie d’exister sans désir ni besoin autres que nos besoins physiologiques. Pour être heureux, vivons chaque jour comme si c’était le premier avec émerveillement.
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