« Les femmes intelligentes aiment les hommes intelligents plus que les hommes intelligents aiment les femmes intelligentes. » – Natalie Portman
Merci, le patriarche!
La science suggère que les hommes sont terrifiés par les femmes intelligentes :
Qu’y a-t-il de plus terrifiant pour un homme que de se faire enlever et interroger par des extraterrestres?
Alors? Vous connaissez la réponse: Une femme intelligente.
Oui, la science a enfin confirmé ce dont nous nous doutions tous depuis longtemps: les hommes trouvent les femmes intelligentes effrayantes. En fait, ça ne s’arrête pas là! La science a aussi découvert que lorsqu’une femme fait quelque chose de mieux qu’un homme, les notions de virilité de l’homme ont tendance à s’atténuer.
Une étude intitulée « La distance (psychologique) crée le désir » – réalisée par Lora E. Park, Ariana F. Young et Paul W. Eastwick – révèle que bien que les hommes aiment l’idée de sortir avec une femme intelligente, quand il s’agit de concrétiser cette réalité, cela ne les intéresse pas. Et quand une femme est plus douée qu’eux dans une tâche, ils se sentent comme des moins que rien.
Des sondages préalables ont montré que, 86 pour cent des hommes déclarent qu’ils se sentiraient à l’aise de sortir avec quelqu’un de plus intelligent qu’eux.
Suite à une série d’expériences, les chercheurs ont souhaité étudier de plus près le bien-fondé de ces revendications.
Dans la première version de l’étude, 105 étudiants hommes ont lu un scénario hypothétique sur une femme qui avait mieux réussi qu’eux à un test, et ensuite on a demandé aux participants de noter à quel point cette femme était désirable.
Dans la seconde version, les chercheurs ont demandé à 151 étudiants hommes de passer un test individuel d’intelligence, et ensuite on a demandé aux participants s’ils étaient intéressés de rencontrer dans le couloir la femme, qui avait soit obtenu de meilleurs ou de moins bons résultats au test.
Ces deux études ont révélé que lorsque les hommes imaginaient une femme fictive qui était plus intelligente qu’eux, ou qu’ils la connaissaient de manière abstraite, ils avaient envie de la rencontrer ou éventuellement de la fréquenter.
Manifestement, une femme intelligente est extraordinaire en théorie, mais moins en pratique.
Dans les deux versions suivantes de l’étude, les participants masculins ont rencontré la femme (associée à l’étude) qui avait soit obtenu de meilleurs ou de moins bons résultats au même test Q.I. Après avoir rencontré la femme, après avoir passé le test tout en étant assis à côté de la femme, et avoir entendu les résultats à voix haute, les participants masculins ont été invités à déplacer leur chaise en face de la femme.
On a ensuite demandé aux participants de répondre à un sondage sur leurs premières impressions concernant l’autre – précisément sur la façon dont ils se trouvaient mutuellement séduisants et désirables. Les chercheurs se sont intéressés à la distance physique exacte entre les deux chaises pour mesurer l’attirance qu’il y avait entre les hommes et la femme.
Sans surprise, les hommes associés à la femme qui avait obtenu de meilleurs résultats au test d’intelligence ont ressenti le besoin de s’éloigner physiquement d’elle lorsqu’ils ont bougé leur chaise. Ils ont également eu plus tendance à évaluer la femme comme moins ‘attirante et interessante’ que les hommes interagissant avec la femme qui avait obtenu de moins bons résultats qu’eux.
Les deux dernières versions de l’étude (six au total) ont constaté que les hommes avaient moins envie d’interagir ou de collaborer avec une femme plus intelligente qui était face à eux.
Cependant, dans la cinquième étude, quand elle était psychologiquement éloignée (dans la pièce voisine), l’envie d’interagir avec elle était intacte, peu importe le résultat qu’elle avait obtenu au test. En fait, les hommes qui n’avaient pas vu la femme ont manifesté une légère volonté d’interagir avec une femme intelligente.
Les principales conclusions de ces études: « Les six études ont révélé que, lorsqu’on évaluait psychologiquement des cibles sur de longues distances, les hommes manifestaient une plus grande attirance pour les femmes qui montraient plus (ou moins) d’intelligence qu’eux. En revanche, lorsque les cibles étaient psychologiquement proches, les hommes manifestaient moins d’attirance pour les femmes qui se montraient plus malignes qu’eux. »
Scientifiquement parlant, c’est plutôt triste.
Sources La science suggère que les hommes seraient terrifiés par les femmes intelligentes, en bleu dans l’article et www.bbncommunity.com / yourtango.com / womansvibe.com
je reste stupéfié de cet article « la science confirme » , je suis content d’être entouré de scientifiques qui me disent que je suis effrayé par les femmes intelligentes! Jusqu’à quand devrons nous être mis en contraste et en compétition par ces scientifiques? Que d’argent gaspillé pour rien!
Et la femme de l’expérience, elle a envie de rencontrer des gens moins intelligents qu’elle ?
Pas forcément, et c’est indépendant du sexe, ou du genre si vous voulez…
On se sélectionne toujours les uns les autres, pour l’amour ou l’amitié, sans que ce soit jamais prononcé dans notre étroite culture, en fonction du QI réel de l’autre.
On s’entoure tous de nos semblables en ce domaine, sinon, soit on survole et on s’ennuie, soit on est largué et on s’ennuie aussi…
En effet c’est triste
Article écrit par une femme, à l’interprétation spécifiquement féminine.
En étudiant le sujet plus impartialement, il est aisé de comprendre, sans intelligence particulière, que les hommes ne sont pas « effrayés » par les femmes plus intelligentes qu’eux, mais qu’ils ne les « désirent » tout simplement moins ou pas.
Bof, tout cela me laisse perplexe. Sachant déjà que l’intelligence n’est pas une science exacte, et que les dernières avancées scientifiques remettent de plus en plus en questions le Q.I comme référence universelle et indiscutable (puisqu’il ne représente qu’une forme d’intelligence parmi huit ou neuf). Et puis quand on confond la notion « d’intelligence » et celle de « malignité » on perd toute crédibilité. Par ailleurs, cette manière de surinterpréter des chiffres prélevés sur un échantillon minime de la population me semble toujours douteuse. Donc parler de « science » dans ces conditions, c’est pour le moins présomptueux. Déjà que je me méfie de l’argument statistique utilisé à outrance et de manière segmentée…
ce n’est pas le fait que les femmes soient intelligentes qui nous dérangent, au contraire c’est le fait qu’il y ait des connes qui se croient super intelligentes qui nous dérange
Elles le sont bien souvent…plus intelligentes si cela vous met dans un tel état… qui n’est pas une preuve d’intelligence mais de frustration aiguë
ptdr vous y croyez vraiment à votre truc sérieux ?