De manière générale, un empathe est une personne hautement sensible qui a tendance à absorber l’énergie émotionnelle et physique des autres. Il est très réceptif aux énergies environnantes et est également en communion avec la nature, y compris avec la terre, les plantes et les animaux.
D’un point de vue positif, les empathes sont capables de ressentir intensément tout ce qui est positif chez les autres et dans le monde. Néanmoins, ils ont souvent tendance à être épuisés, ils deviennent anxieux et sont écrasés à cause de la surcharge sensorielle.
De nombreux empathes présentent ces symptômes, mais en général les médecins conventionnels n’établissent pas le bon diagnostic. Ils sont plutôt soignés pour un trouble panique, une dépression ou de l’anxiété, et reçoivent donc un traitement.
Si vous vous identifiez comme un empathe, le secret pour entretenir votre connexion intuitive avec tous les êtres vivants consiste à développer des stratégies de protection et de centrage comme la méditation, la définition de limites claires, prendre suffisamment de temps pour vous recharger, ainsi que de nombreuses autres stratégies présentées dans « Le guide de survie de l’empathe ».
Les empathes terrestres.
Les empathes terrestres sont une catégorie d’empathes qui sont profondément à l’écoute du monde naturel et de tous les changements de la Terre. La beauté d’un paysage peut enthousiasmer et recharger ces empathes, tandis que la toxicité de la pollution atmosphérique peut les rendre malades, épuisés ou déprimés.
Caractéristiques des empathes terrestres
Lorsque vous êtes un empathe terrestre, vous êtes particulièrement sensible à l’intuition des changements de la Terre dans votre corps. Vous êtes capable de ressentir la puissance d’un orage, la beauté de la lune, la chaleur du soleil sur vos épaules. Votre corps ressent intimement ce qui arrive à la Terre.
La beauté et la santé de la Terre vous nourrissent et vous soutiennent. L’océan et les marées touchent tout le monde, mais vous en particulier.
Il se peut que l’etre qui vous reponds percoive , concoive de cette façon et peut etre encore plus intensement certains jours ?
En paix les animaux sauvages peuvent rentrer dans la piece d’ou je vous reponds en ce moment : ce matin c’etais un ecureuil , hier une libellulle qui s’est meme posée plusieurs fois sur mon epaule . Les autres terribles jours du quotidien il n’y a rien qui puisse changer les choses & je suis encore obligé de vivre ou faire semblant ou essayer . Reste le « Tot ou tard » , ce qui doit d’etre fait sans aucun espoir sans aucune conviction ni intention particuliere . Il y a la nature et il y a une espece qui a cessé d’accepter qu’elle en fait partie , dont helas comme moi je fait aussi partie pour la forme exterieure, l’autre est de la nature !
Je voudrait percevoir un changement comme dans cette attente du soleil qui poudroie et de l’herbe qui verdoie , peut on réécrire la fin et celles de bien d’autres qui decoulent de ce qu’on ne peut ignorer ?
J’ai recommencé a peindre pour avoir l’esprit si occupé jusqu’au bord de l’evanouissement souvent parceque je lutte aussi d’avoir perdu la santé , d’avoir essayé des années et vainement a la fin de lutter contre la maladie et le deprart odieux final suite a ce qui n’etais pas la fatalité …de la personne qui m’a appris ce que je sais et qui disposais de cette meme sensibilité extreme …
La Nature réunit l’être à son unicité . Il n’est nul besoin de méditation pour le ressentir intensément, il suffit de savoir s’abstraire de la voix trop forte de son Ego pour entendre le chant des oiseaux, voir l’ellipse parfaite de l’aile d’un corbeau d’assez près pour distinguer la plume et sentir l’air vibrer….Je ne pense pas que ce bonheur indicible soit réservé aux empathes ou aux adeptes de quelque sphère « spirituelle » ou ésotérique…Se questionner soi, c’est questionner le monde naturel autour de nous, c’est l’observer sans rien chercher d’autre que d’en sentir la force, mais aussi l’équilibre, la violence et la douceur. Le silence de l’Ego est la clef propre à ouvrir cet accès.