Au cours de sa vie, Osho Rajneesh a été considéré comme un mystique controversé, un gourou et un enseignant spirituel.
Il s’est fait connaître en tant que gourou spirituel non seulement en Inde, mais aussi au niveau international. Ses enseignements se concentrent sur la nécessité de la méditation, de la prise de conscience, de l’amour, de la célébration, du courage, de la créativité et de l’humour, et il pensait que ces valeurs étaient occultées par les systèmes de croyance traditionnels, la tradition religieuse et la socialisation.
Laquelle de ces cartes Zen choisirez-vous pour recevoir un message qui vous guidera?
Si vous avez choisi le numéro de carte Zen…
1 – Voix intérieure
Si vous avez découvert votre vérité au fond de vous-même, il n’y a alors rien d’autre à découvrir dans toute cette existence. La vérité se manifeste à travers vous. Lorsque vous ouvrez vos yeux, c’est la vérité qui ouvre ses yeux, lorsque vous fermez vos yeux, c’est la vérité qui ferme ses yeux.
C’est une formidable méditation. Si vous pouvez simplement comprendre cela, vous n’avez rien à faire. Tout ce que vous faites est fait par la vérité. Quand vous marchez, c’est la vérité; quand vous dormez, c’est la vérité au repos; quand vous parlez, c’est la vérité qui parle; quand vous vous taisez, c’est la vérité qui est le silence.
C’est l’une des techniques de méditation les plus simples. Petit à petit tout se remet à sa place avec cette formule simple et puis plus besoin de technique. Lorsque vous êtes guéri, vous jetez la méditation, vous jetez le médicament. Vous vivez alors en tant que vérité ; vivant, irradiant, contenté, béat, un chant à vous-même. Votre vie tout entière devient une prière sans aucun mot ou mieux de dire, un état de prière, une grâce, une beauté qui n’appartient pas à notre monde terrestre, un rayon de lumière venant de l’au-delà et pénétrant les ténèbres de notre monde.
Conseil Zen d’Osho pour la carte 1: La voix intérieure ne parle pas avec des mots mais dans la langue du cœur. C’est comme un oracle qui ne dit que la vérité. Si j’avais un visage, ce serait comme le visage au centre de cette carte: alerte, observateur et capable d’accepter à la fois l’obscurité et la lumière, symbolisé par les deux mains qui tiennent le cristal. Le cristal en lui-même représente la clarté qui vient transcender toutes les dualités.
La voix intérieure peut aussi être ludique, car elle entre profondément dans les émotions et réémerge pour s’élever vers le ciel comme deux dauphins dansant dans l’eau de la vie. C’est relié au cosmos par la couronne du croissant de lune et à la terre représentée par les feuilles vertes dans la figure du kimono.
Il y a des moments dans nos vies où nous avons l’impression que de nombreuses voix nous poussent dans tous les sens. Notre propre confusion dans de telles situations nous rappelle de rechercher le silence et d’être centré. Ce n’est qu’alors que nous pouvons entendre notre vérité. (Osho Le Grand Maître Zen Ta Hui Chapitre 23)
Voir aussi : Choisissez un cristal et recevez un message spirituel pour l’instant présent.
2 – La lutte
Il y a un instant c’était là, à présent ce n’est plus là. Un moment nous sommes ici, l’instant d’après nous n’y sommes plus. Et pour ce simple instant, combien d’agitation brassons-nous ! Combien de violence, d’ambition, de lutte, de conflit, de colère, de haine, uniquement pour ce simple instant ! Nous nous trouvons dans la salle d’attente d’une gare, attendant le passage d’un train et… que de tumulte, d’agitation nous créons : bagarre, agression mutuelle, tentative de domination, de prise de pouvoir sur l’autre – toute une politique. Puis le train arrive et vous disparaissez pour toujours.
Conseils d’Osho Zen pour la carte 2 : Le personnage sur cette carte est entièrement couvert d’une armure. Seuls son regard de colère et le blanc de ses articulations sont visibles dans ses poings serrés. Si vous regardez l’armure d’un peu plus près, vous pouvez voir qu’elle est recouverte de boutons, prête à exploser si quelqu’un s’approche trop. En arrière plan nous voyons le scénario fantôme qui se joue dans l’esprit de cet homme – deux figures combattant pour un château.
Un tempérament explosif cache souvent le sentiment profond de douleur. Nous pensons que de cette façon, nous gardons les gens loin de nous pour éviter d’autres blessures. En fait, c’est exactement le contraire qui se produit: en couvrant nos blessures avec une armure, nous les empêchons de guérir. Fuir les autres nous empêche de recevoir l’amour et les soins dont nous avons besoin.
Si cette description semble vous concerner, il est temps d’arrêter de vous battre. Il y a tellement d’amour au bout de vos doigts, si vous le laissez entrer. Commencez par vous pardonner: vous le méritez. (Osho Take it Easy, Volume 1 Chapitre 13)
3 – Un désir d’innocence
Cette carte Zen dit que si vous lâchez le savoir – et dans le savoir tout est inclus, votre nom, votre identité, tout, parce que cela vous a été donné par les autres – si vous lâchez tout ce qui vous a été donné par les autres, vous aurez une qualité d’être totalement différente – l’innocence. Ce sera la crucifixion de la persona, de la personnalité et il y aura une résurrection de votre innocence. Vous deviendrez de nouveau un enfant « re-né ».
Conseil Zen d’Osho pour la carte 3 :
Le vieil homme de cette carte envoie une joie enfantine dans le monde. Une sorte de grâce l’entoure, comme s’il était à l’aise avec lui-même et avec ce que la vie lui a apporté. Il semble avoir une joyeuse communication avec la mante religieuse sur son doigt, comme s’ils étaient les plus grands amis. Les fleurs roses tombant en cascade autour de lui représentent un temps de lâcher prise, de relaxation, de douceur. Elles sont une réponse à sa présence, un reflet de ses qualités authentiques.
L’innocence qui accompagne une expérience de vie profonde est enfantin mais pas puérile. L’innocence des enfants est belle, mais ignorante. Elle sera remplacée par la méfiance et le doute lorsque l’enfant grandira et apprendra que le monde peut être un endroit dangereux et menaçant. Mais l’innocence d’une vie vécue pleinement possède une qualité de sagesse et d’acceptation devant l’émerveillement du perpétuel changement de la vie. (Osho Dang Dang Doko Dang Chapitre 7)