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10 signes que vous donnez trop et que les gens pourraient profiter de vous

Avez-vous parfois l’impression de faire beaucoup pour les autres sans recevoir grand-chose en retour ? Vous n’êtes pas seul. Parfois, il est difficile de savoir si vous êtes simplement gentil ou si les gens profitent de vous. Dans cet article, nous aborderons 10 signes qui montrent que vous donnez peut-être trop. Si l’une de ces situations vous semble familière, il est temps de réfléchir à fixer certaines limites.

Être gentil, c’est bien, mais pas si cela vous fait du mal.

1. C’est toujours vous qui tendez la main

Vous retrouvez-vous toujours à être celui qui appelle, envoie des SMS ou prend l’initiative de faire des projets ? Si c’est le cas, prenez du recul. Les amitiés et les relations doivent être à double sens. Si vous êtes le seul à faire des efforts, c’est un signe qu’il y a un déséquilibre.

Il ne s’agit pas de tenir un compte, mais de se sentir valorisé et respecté. Si vous êtes toujours celui qui tend la main, il est temps de vous demander si ces personnes sont vraiment vos amis ou si elles sont simplement là quand cela leur convient.

2. Vous êtes la personne à qui l’on s’adresse pour résoudre les problèmes, mais qui est là pour vous ?

Avez-vous déjà remarqué que votre téléphone sonne seulement lorsque quelqu’un a besoin d’un conseil ou d’une faveur ? Ne vous méprenez pas, c’est gratifiant d’être la personne sur laquelle les autres peuvent compter.

Mais que se passe-t-il lorsque vous êtes en difficulté ? Si vous avez du mal à vous souvenir de la dernière fois où quelqu’un vous a proposé de l’aide, c’est un signal d’alarme. Être un ami fiable est une bonne chose, mais cela ne doit pas être à sens unique. Vous méritez également d’avoir un soutien, pas seulement d’être celui qui soutient les autres.

3. Dire « oui » vous fait vous sentir coupable, pas bien

Dire « oui » pour aider quelqu’un devrait normalement vous donner le sentiment d’être une bonne personne, n’est-ce pas ? Eh bien, pas toujours. Si vous vous surprenez à dire « oui » parce que vous avez peur de ce que les gens penseront si vous dites « non », cela peut poser problème. Vous pensez peut-être faire ce qu’il faut, mais au fond de vous, vous vous sentez coupable ou anxieux.

C’est parce que vous ne dites pas « oui » par gentillesse, mais par peur. Parfois, dire « non » est la chose la plus gentille à faire, pour vous-même et pour les autres. Cela permet de fixer des limites et de construire des relations fondées sur une réelle attention, et non sur une obligation.

4. Vous êtes épuisé et personne ne le remarque ou ne s’en soucie

Vous êtes fatigué. Pas seulement d’une fatigue passagère, mais d’un épuisement profond. Et le pire, c’est que personne ne semble le remarquer, ou si c’est le cas, cela ne semble pas les déranger. Vous avez tellement donné de vous-même que vous êtes à court d’énergie. Vous êtes toujours là pour les autres, mais quand vous vous effondrez, c’est comme si vous étiez invisible.

C’est une dure vérité, mais si les personnes autour de vous ne voient pas vos difficultés ou ne prennent pas la peine de vous demander comment vous allez, elles ne sont pas vos proches. Point final. Vous n’êtes pas un puits sans fond de soutien ; vous êtes aussi un être humain qui a besoin de soins et d’attention.

5. Vous célébrez seul

Vous souvenez-vous de cette fois où vous avez obtenu une promotion importante ou réussi un examen difficile ? Et vous étiez ravi, mais lorsque vous avez regardé autour de vous pour partager votre joie, c’était comme si vous organisiez une fête à laquelle personne ne s’était présenté. Il ne s’agit pas seulement des grands moments. Même les petites victoires méritent un « bravo ! »

Si les personnes de votre entourage ne se donnent pas la peine de célébrer avec vous, il est temps de vous demander pourquoi vous investissez autant dans leurs célébrations. Les étapes importantes de la vie sont trop précieuses pour être célébrées seul. Vous méritez des gens qui vous soutiennent autant que n’importe qui d’autre.

6. Vous êtes toujours le plan de secours, jamais la priorité

Avez-vous déjà eu l’impression d’être une option dans la vie de quelqu’un, et non une priorité ? Comme si vous étiez la personne que les autres appellent lorsque leurs plans principaux tombent à l’eau ? Si vous êtes toujours le plan de secours, c’est un signe clair que vous donnez plus que vous ne recevez.

Les vrais amis et les proches prennent du temps pour vous, et ne se contentent pas de vous utiliser pour combler les trous dans leur emploi du temps. Vous méritez d’être le premier choix de quelqu’un, pas une simple option de dernière minute.

7. Vous ressentez du ressentiment, mais gardez-le pour vous

Si vous commencez à ressentir de l’amertume ou du ressentiment, mais que vous gardez ces sentiments pour vous, c’est un signe inquiétant. Il est naturel de se sentir contrarié lorsqu’on donne beaucoup et qu’on ne reçoit pas grand-chose en retour. Mais si vous ne parlez pas parce que vous avez peur de la confrontation ou de perdre la relation, vous vous faites du tort.

Le ressentiment est comme une fuite lente dans un pneu ; il ne provoque peut-être pas d’éclatement immédiat, mais il rend certainement le voyage plus difficile qu’il ne devrait l’être. Exprimez ce que vous ressentez. S’ils s’en soucient, ils vous écouteront. Si ce n’est pas le cas, vous avez votre réponse.

8. Vous vous excusez toujours, même lorsque ce n’est pas de votre faute

Vous est-il déjà arrivé de dire « désolé » juste pour éviter un conflit, même si vous n’aviez rien fait de mal ? S’excuser alors que vous n’êtes pas en faute, c’est comme renoncer à une partie de votre estime de soi. Cela peut éviter une dispute sur le moment, mais à quel prix ?

Vous ne devriez pas avoir à vous excuser d’avoir des sentiments, de fixer des limites ou simplement d’exister. Si c’est toujours vous qui vous excusez, il est temps de vous demander pourquoi vous êtes prêt à prendre la responsabilité juste pour rendre quelqu’un d’autre plus à l’aise. Vous valez plus que cela.

9. Vous avez peur d’être seul, alors vous vous contentez de moins

Parfois, nous laissons les autres profiter de nous parce que nous avons peur d’être seuls. C’est comme si nous pensions qu’une mauvaise relation ou une amitié à sens unique était mieux que rien du tout. Mais soyons réalistes. Être seul est infiniment mieux qu’être avec des gens qui vous font vous sentir seul.

Si vous vous accrochez à des relations dans lesquelles vous êtes clairement utilisé ou sous-estimé, non seulement vous vous faites du mal, mais vous bloquez également la voie à des relations meilleures et plus authentiques. Vous n’êtes pas un paillasson. Ne laissez personne vous traiter comme tel.

10. Vous pensez que vous êtes égoïste de vouloir plus

Vous pourriez penser que vouloir plus pour vous-même est égoïste. Mais ce n’est pas le cas. En fait, c’est tout le contraire. On ne peut pas verser de l’eau dans une tasse vide. Plus vous prenez soin de vous, mieux vous pouvez prendre soin des autres.

Vouloir plus n’est pas une question d’égoïsme, mais de reconnaissance de votre propre valeur. Si vous donnez sans cesse et ne recevez rien en retour, vous ne faites pas preuve de générosité, vous vous épuisez. Et un être épuisé n’est bon pour personne, et encore moins pour vous-même. Alors, n’ayez pas peur d’être « égoïste ». Exigez davantage. C’est la chose la plus altruiste que vous puissiez faire.

Conclusion

Si vous vous êtes reconnu dans l’un de ces signes, il est put-être temps de faire un examen de conscience et de fixer des limites. N’oubliez pas qu’il ne s’agit pas de devenir froid ou égoïste, mais de trouver un équilibre. Vous pouvez être gentil, généreux et toujours prendre soin de vous.

En fait, vous le devez. Car au bout du compte, vous êtes la seule personne que vous aurez toujours. Il est temps d’arrêter de vous sous-estimer. Vous méritez des relations qui vous apportent autant que ce que vous y mettez. Alors, récupérez votre temps, votre énergie et, surtout, votre estime de soi.

Publié par Jean-Charles Réno

À propos de l’auteur: j'aime la nature et l'écologie mais je m'intéresse aussi à la psychologie et la spiritualité, je pense que tout est lié. Je suis arrivé dans l’équipe d’ESM en 2016 après avoir étudié en Angleterre et passé plusieurs années en Australie . Depuis toujours, je suis soucieux de la nature et de mon impact sur l’environnement. Ainsi, par le biais d’informations, j’essaie de contribuer à l’amélioration de l’environnement et de jouer un rôle dans l’éveil des consciences afin de rendre le monde un peu meilleur chaque jour.

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