Tu sais, si tu as une « maladie », ou tout du moins s’il t’arrive un pépin de santé, une dysfonction d’un système ou d’une aptitude, tu auras beau améliorer les choses, vraiment les améliorer, en travaillant sur le corps physique, par toutes les techniques qui te sembleront nécessaires et je pense ici notamment à tout ce que propose la naturopathie (et toutes les méthodes holistiques), il n’en restera pas moins que le plus gros du travail et cela même si ton mal être physique te fait atrocement souffrir et que les soins que tu y apporteras glaneront leurs fruits, il te faudra à un moment ou un autre purifier ton corps émotionnel.
Celui-là même qui créera son sillage de maladies ou de biens êtres jusqu’au corps physique, celui dans lequel nous vivons et par lequel nous nous exprimons, ce canal grâce auquel la « maladie », en fin le mal a dit, pourra pénétrer jusqu’au corps physique où il (le mal) pourra s’épanouir par notre souffrance, notre douleur.
Tout, absolument tout est en interpénétration constante.
Je décide d’expliquer comme cela, mais je pourrais expliquer autrement. Mais cette manière me va.
J’imagine qu’il faut parfois avoir pratiqué sur soi, peut être pendant longtemps, pour commencer à voir l’intérêt qu’est de nettoyer, de purifier, ses corps éthériques.
Je ne mets pas de côté les soins du corps, du vivant par la matière. Au contraire, ils n’apporteront que mieux être et participeront d’une manière conséquente au retour à la santé. Mais finalement derrière la santé, surtout actuellement, bien des choses apparaissent, je le redis : tout est interpénétré, et quand on constate la présence d’un mal en soi, n’importe laquelle de sa nature, c’est que d’une manière ou d’une autre, à un temps ou un autre, nous l’avons laissé entrer en nous, nous lui avons ouvert la porte de notre enveloppe physique.
Une fois que le symptôme physique ou psychique est apparu, cela veut dire que le mal dont nous souffrons est passé par toutes les couches subtiles de notre corps pour finalement et symptomatiquement s’épanouir en notre physicalité, notre matière propre. Platon nous dit que » Les maux du corps sont les maux de l’âme, ainsi on ne doit pas chercher à guérir le corps sans chercher à guérir l’âme « . C’est exactement ça, on ne peut nourrir l’arbre si l’eau qu’on lui donne est empoisonnée.
Platon nous rappelle juste ici le fondamental, nous qui cherchons toujours à traiter un symptôme, une anomalie, un mal, nous oublions pourtant bien vite d’en chercher les causes, et même quand nous les cherchons nous nous limitons bien souvent aux concepts dogmatiques que la médecine sur lesquels nous nous appuyons nous apprend. Alors oui commencer à chercher les causes des symptômes au niveau physique c’est bien, car une fois identifiés, la guérison pourra s’enclencher, mais il ne faut pas oublier d’où ce mal vient. Alors effectivement celui-ci s’épanouira bien plus vite selon notre mode de vie, notre hygiénisme, nos habitudes, notre alimentation, mais il s’épanouira de toute façon.
Actuellement, tout s’accélère, tout s’intensifie, tout arrive plus vite : plus de maladie, plus de pollution, plus de mal-être et pourtant on assiste, et de plus en plus, à une merveilleuse prise de conscience qui s’amplifie à chaque minute, à chaque jour qui passe… chez la plupart, même chez ceux qui ne s’en rendent pas encore compte.
Pour en revenir aux corps subtils et pour clarifier la situation, mais bon je ne m’inquiète pas trop si tu me lis, le corps émotionnel fait partie d’un ensemble de corps non perceptibles que je pourrais caractériser d’enveloppes qui nous entourent, et qui ne sont pas visibles pour la majorité d’entre nous, par le simple fait de leurs palpations éthérées. C’est à dire que ces enveloppes ne sont pas visibles à l’oeil nu, mais perceptibles par nos sens, ceux que nous choisissons de développer ou non, en conscience ou en non conscience.
Il existe une multitude de techniques pour toucher et agir sur les corps éthériques :
On peut pratiquer les bols tibétains, avoir recours au magnétisme, à la méditation, à la respiration, à certains massages, aux arts chinois du Qi gong et ses cousins. À l’acupuncture, au jeûne. Mais aussi à la danse, aux chants, la pratique de la musique, des chakras… Mais au final ce qui décristallisera bien les choses et de manière rapide c’est le pleur. Pleurer sans forcément être triste, mais plutôt pleurer pour la joie de se retrouver, la joie de s’accueillir en soi. Pleurer pour la joie de son évolution, de son lâcher prise, pour permettre de se rapprocher de sa conscience divine, souveraine du tout.
Qu’est ce que l’on se sent bien après avoir pleuré.
Certes, on peut être fatigué, avoir les idées embrumées, se sentir comme vulnérable mais ce n’est que passager et dans la finalité, on s’est débarrassé d’un certain nombre d’enclumes qui nous faisaient stagner.
Alors si après tu es fatigué : dors. Si tu as les idées embrumées : respire. Et si tu te sens vulnérables, pose ta main sur ton plexus solaire et ressens la force montée en toi par cette libération des corps.
Voilà le message que je voulais vous offrir.
Auteur : Adrien Ruet
Bio: Il y’a deux ans, en revenant d’un voyage de 7 mois en Nouvelle-Zélande, j’ai eu une baisse de régime terrible au niveau du corps qui m’a rapidement permis de m’aligner et de devenir celui que je suis aujourd’hui. Passé l’obtention d’une licence en histoire à celle d’un Bachelor en école de commerce je suis désormais en première année de Naturopathie, et je sens enfin que j’ai trouvé ma voie. Passionné de médecine naturelle, je sens se développer en moi certaines compréhensions du monde qui me poussent à vouloir aider les gens… C’est dans cette optique d’apporter mon aide que, en attendant d’avoir mon diplôme dans 3 ans, j’ai ouvert le site JUSTE Naturo, pour permettre à ceux qui tomberont, pas, par hasard dessus, d’accéder à des articles qui pourront peut-être les aider et les soutenir dans leur chemin de vie.
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