Ce que signifie être bon envers les autres en 5 points

« L’une des questions qui ne me quitte jamais est : « Que signifie être bon envers les autres ? » Bien entendu, chacun de nous a ses propres recettes, concepts ou valeurs. » Être bon envers son prochain est une notion profondément ancrée dans de nombreuses cultures et traditions à travers le monde. C’est un principe fondamental qui guide nos interactions avec les autres et influence nos choix et nos actions au quotidien.

Pour beaucoup, être bon envers les autres signifie simplement être gentil et attentionné envers eux.

Cela peut se traduire par des gestes simples comme aider quelqu’un dans le besoin, être attentif à ses sentiments. Ou simplement lui offrir un sourire et un peu de gentillesse. Ces petits actes de bonté peuvent avoir un impact énorme sur la vie des autres. Et contribuer à créer un monde plus aimant et bienveillant.

D’autres voient la bonté envers son prochain comme une question d’empathie et de compassion. Cela implique de se mettre à la place des autres. De comprendre leurs émotions et leurs luttes, et d’agir avec compassion pour les soutenir dans leurs moments difficiles. Cela peut signifier écouter attentivement, offrir un soutien moral, ou même aider concrètement à résoudre leurs problèmes.

Pour certains, être bon envers son prochain va au-delà des actions individuelles et implique un engagement envers la justice sociale et le bien-être collectif. Cela peut inclure des efforts pour lutter contre l’injustice. La discrimination et la pauvreté, et travailler à créer un monde plus juste et équitable pour tous. C’est une approche plus large de la bonté qui reconnaît notre responsabilité envers la société dans son ensemble.

Cependant, j’ai décidé, pour l’instant, de choisir 5 de ces étapes et de les partager avec vous aujourd’hui.

Ce que signifie être bon envers les autres en 5 points

1.Être bon envers les autres c’est être honnête avec eux, même si cela peut parfois sembler hostile.

Je préfère rester fidèle à moi-même. Éviter l’auto-sabotage m’a permis de grandir et de mieux me connaître. La vérité me pousse à m’améliorer en tant qu’individu.

2. Pour être bon envers les autres, nos actions doivent être en accord avec nos paroles.

Bien sûr, je ne suis pas parfait, mais j’essaie de maintenir cette cohérence car elle m’aide à devenir une personne plus épanouie. Cela me conduit également à attirer des personnes similaires à moi. Comme si elles étaient un reflet de moi-même, éliminant ainsi toute hypocrisie.

3. Pour être bon envers les autres, le pardon est essentiel.

Accepter, c’est transcender. Quant à l’oubli, il est réservé à ceux qui ont perdu leur mémoire.

Lorsque quelqu’un agit d’une manière qui me déplaît ou qui va à l’encontre de mes valeurs, cela me blesse. Comment réagir dans de telles situations ?

La théorie : pardonner et comprendre que l’autre agit selon sa propre nature. Et qu’il ne peut faire que ce qui est en accord avec ce qu’il est ou ce qu’il sait de lui-même.

Pratique : Lorsque je suis blessé, j’ai besoin de temps pour sortir du mode d’analyse critique. Cependant, avec l’expérience, nous apprenons que « moins peut devenir beaucoup plus » dans nos vies. Nous apprenons à distinguer ce qui est important de ce qui ne l’est pas. Lorsque nous réalisons que « l’esprit peut nous tromper », et que nous commençons à écouter notre intuition. Nous atteignons un niveau plus élevé.

4. Ce ne sont ni les mots ni les actions, mais le cœur.

Il m’a fallu du temps pour comprendre cet « art ». Je l’ai ressenti, mais j’ai cherché des explications rationnelles aux actions, essayant de comprendre ce que je ressentais. Au fil du temps, des expériences et de l’approfondissement de mes études philosophiques. J’ai réalisé que mon intuition était la voix de mon cœur, me disant. « Laissez à l’autre la chance de se montrer tel qu’il est – ni plus ni moins. »

J’ai compris, grâce à cet exercice, que le plus grand amour n’est pas celui que nous ressentons pour ceux dont les actions ou les paroles nous plaisent. Mais le défi d’aimer ceux qui, à nos yeux, ont « tort ». Oui, aimer ce qui est différent est un exercice difficile, n’est-ce pas ?

5. Être un ami, c’est…

Pour moi, un ami n’est pas seulement quelqu’un qui nous donne un coup de main dans les moments difficiles. Mais un être qui comprend notre douleur et qui réagit souvent de manière positive en la voyant chez les autres, car il reflète sa propre douleur.

Un ami n’est pas non plus celui qui applaudit simplement nos succès. Il peut être cette personne qui, inconsciemment, nous encourage et nous félicite souvent, car il partage nos réussites.

Il y a aussi celui qui est tellement heureux dans la vie qu’il recherche la compagnie de personnes positives et réussies. Croyant que cela l’aidera à maintenir son propre succès.

Pour moi, un ami est celui qui nous accompagne sur le chemin de la vie, peu importe les difficultés. Quand nous tombons, il est là pour nous aider à nous relever. Devenant ainsi le soutien dont nous avons besoin pour avancer. Et s’il arrive que nous réussissions, cet ami sera le premier à nous applaudir. Cela se produit parce qu’il comprend la vraie différence entre être flatteur et être authentiquement agréable.

L’ami sait quand critiquer pour vous aider à grandir. Et il sait aussi quand vous encourager pour vous motiver à progresser continuellement.