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5 choses que j’ai arrêté de faire pour les autres et le bien-être de tout le monde

faire pour les autres

Réflexion sage sur cinq choses que j’ai arrêté de faire pour les autres : autonomisation personnelle et connaissance de soi.

Tout au long de leur existence, de nombreuses personnes traversent des périodes de profonde introspection qui les incitent à remettre en question leurs attitudes et comportements.

Il y a de cela un an, j’ai traversé une phase difficile, confronté à plusieurs défis, et j’ai pris conscience du fait que peu de gens étaient vraiment disposés à m’offrir leur aide. Cette situation m’a incité à réfléchir sur la société dans laquelle nous évoluons et m’a poussé à réévaluer mes propres attitudes.

Pourquoi j’ai arrêté de faire pour les autres ces 5 choses pour le bien-être de tout le monde ?

Dans un monde où l’individualisme semble prédominer, j’ai pris conscience que la plupart des individus se concentrent sur leurs propres intérêts et recherchent des avantages personnels. Avec les années qui passent, notamment après avoir atteint l’âge de 50 ans, j’ai développé une sensibilité accrue, bien que tardive, quant à l’importance de certains changements dans sa vie pour mon bien et celui des autres.

Au cours de ce voyage de connaissance de soi, j’ai identifié cinq aspects en particulier dans lesquels j’ai décidé d’opérer une transformation significative. Et ils sont.

5 choses que j’ai arrêté de faire pour les autres et le bien-être de tout le monde

1. Offrir mon aide

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Avant, j’étais si disposé à aider que j’offrais mon aide avant qu’un ami ou une connaissance ne me le demande. Maintenant, je ne fais plus ça.

Si vous avez vraiment besoin d’aide, venez demander. Mais désormais, je serai également sélectif quant à qui aider et comment. Car comme beaucoup de monde, j’ai aidé à plusieurs reprises à mon propre détriment, ce qui m’a valu des ennuis.

2. La communication

Désormais, je n’impose plus ma communication. J’ai toujours pris l’initiative de répondre. J’ai réalisé que l’amitié devait être réciproque, et pas seulement d’un côté. Je ne me soucie plus de ceux qui ne se soucient pas de moi.

3. Des conseils

J’ai cessé de donner des conseils, car on me reprochait souvent tous mes problèmes. En effet, vous avez « la tête sur les épaules » et vous devez prendre vos propres décisions. Vous m’avez récemment demandé ce que je ferais, mais c’est à vous de prendre la décision.

4. Écouter les plaintes constantes

Images crédits : Pixabay et Freepcik

Depuis quelques années, j’ai eu l’impression d’être constamment utilisé comme un « oreiller de secours ». De nombreux amis se plaignaient en permanence en ma présence, déversant toute leur négativité sur moi.

J’ai agi comme si j’avais été immergé dans l’eau. Ils me confiaient leurs problèmes, et j’ai apporté mon aide pour les résoudre. Ensuite, ils poursuivaient leur chemin comme si de rien n’était.

5. L’assistance quand quelqu’un se trompe

Auparavant, je n’osais pas contredire quelqu’un même si je pensais qu’il avait tort. Désormais, je peux exprimer immédiatement si je pense qu’une personne a tort ou raison. En toute franchise, j’ai commencé à comprendre la situation de manière plus réaliste, sans voir la vie en rose.

Vouloir aider les autres est une intention noble, mais ce n’est pas toujours la meilleure solution pour plusieurs raisons :

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– Certaines personnes préfèrent résoudre leurs problèmes par elles-mêmes ou n’apprécient pas une aide non sollicitée. Imposer de l’aide peut être perçu comme intrusif.

– Une aide excessive peut créer une dépendance chez les personnes aidées, les empêchant de développer leurs propres compétences pour faire face aux défis.

– En voulant aider, nous pouvons parfois faire des suppositions sur ce que les autres ont besoin, sans comprendre pleinement leur situation.

– Les besoins des autres ne sont pas toujours la priorité, et il est essentiel de reconnaître que chacun a ses propres priorités et responsabilités.

– Trop s’investir dans l’aide aux autres peut entraîner de l’épuisement physique et émotionnel, négligeant ainsi ses propres besoins.

– En aidant constamment, les personnes peuvent éviter de prendre leurs propres responsabilités.

La clé est de trouver un équilibre entre offrir de l’aide lorsque c’est approprié et respecter l’autonomie et les besoins des autres. Parfois, la meilleure manière d’aider est d’écouter, de soutenir et d’offrir de l’aide lorsque cela est explicitement demandé.

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Publié par Jean-Charles Réno

À propos de l’auteur: j'aime la nature et l'écologie mais je m'intéresse aussi à la psychologie et la spiritualité, je pense que tout est lié. Je suis arrivé dans l’équipe d’ESM en 2016 après avoir étudié en Angleterre et passé plusieurs années en Australie . Depuis toujours, je suis soucieux de la nature et de mon impact sur l’environnement. Ainsi, par le biais d’informations, j’essaie de contribuer à l’amélioration de l’environnement et de jouer un rôle dans l’éveil des consciences afin de rendre le monde un peu meilleur chaque jour.

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