Sandra Véringa
Pendant longtemps, vous avez considéré l’amour comme une forme d’esclavage, où vous perdez votre liberté et votre indépendance. Cette perception peut être compréhensible, car l’amour peut parfois être associé à des attentes, des sacrifices et des compromis. Cependant, il est important de réaliser que cette vision est trompeuse.
La véritable liberté émerge lorsque l’amour est présent dans nos vies. Lorsque nous nous donnons entièrement à une relation, nous choisissons d’ouvrir notre cœur et de nous engager émotionnellement. Ce choix conscient de se laisser aller et de faire confiance crée un sentiment de liberté intérieure. En nous donnant complètement, nous nous libérons des barrières qui nous empêchaient d’aimer et de nous connecter profondément avec les autres.
Ceux qui se donnent de manière totale et authentique, qui embrassent l’amour sans retenue, découvrent une liberté infinie. Lorsque nous sommes prêts à faire face à nos peurs et à nous abandonner à l’amour, nous nous ouvrons à de nouvelles possibilités et expériences. Nous nous libérons des limitations que nous nous imposons et nous permettons à l’amour de nous transformer et de nous élever.
De même, celui qui aime de manière infinie ressent une véritable liberté. Lorsque nous aimons sans limites ni conditions, nous nous affranchissons des attentes et des exigences qui peuvent accompagner l’amour. L’amour véritable est inconditionnel et altruiste. En aimant les autres pour ce qu’ils sont, sans essayer de les changer ou de les contrôler, nous nous détachons de nos propres désirs égoïstes et de nos attachements. Cela crée une sensation de liberté intérieure, car notre bonheur n’est plus dépendant de l’autre, mais provient de notre capacité à donner et à partager notre amour.
Il est important de noter que cette vision de l’amour n’est pas une invitation à l’aveuglement ou à l’acceptation de relations toxiques. La liberté dans l’amour est basée sur la réciprocité, le respect mutuel et le bien-être de toutes les parties impliquées. Il est essentiel d’établir des limites saines et de maintenir notre propre autonomie tout en cultivant des relations d’amour et de soutien.
Malgré tout ce que j’ai pu vivre, faire ou découvrir, rien n’a de sens. En amour, personne ne peut écraser l’autre, nous sommes tous responsables de ce que nous ressentons, et nous ne pouvons en accuser les autres.
J’ai été blessé lorsque j’ai perdu les femmes que j’avais aimées. Aujourd’hui, je suis convaincu que personne ne perd personne, car personne ne possède personne. C’est la véritable expérience de la liberté : avoir la plus importante chose au monde, sans la posséder.»
Onze Minutes – Paulo Coelho
Renoncer à la possession et aimer tout en conservant sa liberté, sans exercer de pressions sur l’autre, est essentiel pour l’évolution d’un couple, mais aussi pour chaque individu.
L’amour se compose d’une série de combats, de sacrifices et de concessions que l’on fait envers soi-même dans l’intérêt du bien-être du couple.
L’amour ne réside pas chez l’autre, mais en nous-mêmes.
“Le grand but de l’être humain est de comprendre l’amour total. L’amour n’est pas chez l’autre, mais à l’intérieur de nous-mêmes ; nous sommes les seuls à pouvoir le réveiller. Pour qu’il se réveille, nous avons besoin de l’autre. L’univers n’a de sens que lorsque nous partageons nos émotions.»
Onze Minutes – Paulo Coelho
C’est là que nous faisons tous souvent une erreur. Nous cherchons chez les autres un moyen de combler nos propres lacunes et insécurités, sans jamais réaliser que la clé se trouve en nous-mêmes.
Nous chargeons les autres du poids de notre existence, en les rendant responsables de nos succès, de nos échecs et surtout de nos émotions.
Cela crée un vide immense à l’intérieur de nous, où la fierté et la satisfaction personnelle disparaissent. Parallèlement, nous anéantissons la possibilité d’un amour sain qui aurait pu s’épanouir.
La dépendance ne fait que croître, privant ainsi notre véritable identité émotionnelle de toute authenticité.
Nous ne nous rendons pas compte que si nous ne nous débarrassons pas des pansements et des bouts de sparadrap qui recouvrent nos blessures, nous risquons de créer des blessures bien plus profondes à l’intérieur de nous-mêmes, ainsi que chez la personne en face de nous.
Arrêtons de nous trouver des excuses ! L’amour et la relation de couple prennent toujours leur source à l’intérieur de nous-mêmes.
Si nous prenons cela en compte, nous vivrons des moments frais et sains. Cela nous permettra de grandir plutôt que de nous détruire.
Doit-on se tenir à l’écart de la passion ou l’accueillir à bras ouverts ?
Personne ne souhaite perturber son monde. Certaines personnes détestent la passion car elle bouleverse totalement l’univers qu’elles ont créé.
En réalité, la plupart des gens vivent dans des relations brisées et ont des habitudes qui ne les satisfont pas, simplement parce qu’ils ont peur du changement.
Ces personnes sont à l’origine de l’adage populaire « on sait ce que l’on perd, mais on ne sait pas ce que l’on gagne ». C’est un dogme, une loi inébranlable qui guide leur vie vers la médiocrité.
Cependant, d’autres se jettent éperdument dans l’inconnu et dans des aventures improbables en pensant que cela va leur permettre de résoudre leurs problèmes.
Ces personnes déchargent toute la responsabilité de leur bonheur (et de leur possible malheur) sur les autres. Elles sont euphoriques si quelque chose de bien leur arrive, et complètement déprimées si quelque chose tourne mal.
Lorsqu’il s’agit de déterminer la bonne attitude, il est essentiel de trouver un équilibre entre deux extrêmes. D’un côté, l’attitude excessive ou désinhibée peut conduire à des comportements impulsifs et irresponsables. D’un autre côté, l’attitude trop restrictive ou inhibée peut étouffer la spontanéité et la joie de vivre. La clé réside donc dans l’adoption d’une attitude mesurée et responsable.
Agir avec mesure signifie prendre des décisions réfléchies, en pesant les conséquences de nos actions. Cela implique d’évaluer attentivement les risques et les avantages potentiels avant de passer à l’action. L’attitude mesurée est celle qui tient compte de nos valeurs, de nos principes et de notre éthique personnelle. Elle nous pousse à agir en accord avec ce que nous considérons comme juste et approprié, sans nous laisser emporter par nos émotions ou nos impulsions.
La responsabilité est un autre aspect important de la bonne attitude. Elle nous rappelle que nos actions ont des répercussions sur nous-mêmes, sur les autres et sur notre environnement. Être responsable signifie assumer les conséquences de nos choix et prendre soin de nos engagements. Cela implique également d’être conscient de l’impact de nos actes sur les autres et de faire preuve d’empathie envers leur bien-être.
Mais adopter une attitude mesurée et responsable ne signifie pas que nous devons vivre dans la monotonie ou la privation. Au contraire, cela nous donne la liberté de rechercher la passion et la joie dans notre quotidien. Lorsque nous agissons de manière réfléchie et responsable, nous sommes en mesure de cultiver des relations saines, de nous engager dans des activités qui nous passionnent et de poursuivre nos aspirations avec détermination.
Il est essentiel de trouver un équilibre entre nos obligations et nos plaisirs personnels. Si nous négligeons nos propres besoins et aspirations, nous risquons de nous sentir insatisfaits et frustrés. Mais si nous nous abandonnons complètement à nos désirs sans considération pour les autres ou pour les conséquences à long terme, nous risquons de causer des dommages et de regretter nos actions.
En conclusion, la bonne attitude consiste à agir avec mesure et responsabilité. Cela nous permet de vivre pleinement en intégrant la passion et la joie dans notre quotidien, tout en veillant à ce que nos actions soient en accord avec nos valeurs et respectent les autres. En adoptant cette approche équilibrée, nous pouvons construire une vie épanouissante et harmonieuse, tant pour nous-mêmes que pour ceux qui nous entourent.
« Vos informations ne doivent jamais être écrites ou prononcées au futur ou de façon négative. »
Alors pour correction, « J’aimerais, j’aurais… », pour vous citer, ce n’est pas au futur mais au conditionnel ^^
Une p’tite révision grammaticale s’impose ! Et c’est une affirmation aussi
hooo!! je craque!! je n’arrive pas à partager votre article!! j’ai besoin de rendre toujours ce que je reçois!!! aie! hooo! je me perds dans toute cette tecnologie et de plus l’anglais!!! holàlà!!! pourriez vous m’aidez? c’est tout benef pour vous car j’Adhere à la quasi totalité de vos articles!! jusqu’à me demander = comment est ce possible que l’ensemble d’1 rédaction peut à ce point et tellement si spécifique à mes gout, attentes et besoins…??? c’est space!!! je sais tellement que je suis hors de ce monde et leur gens!!! alors………. vous je vous Aime et Aimerai si fort conjugué et m’alimenter!!! enfin!! MERCIII Je Nous AIME
La passion a tendance à me faire peur parce que je me donne entièrement et j’attends trop souvent de l’autre la même intensité, dans le but de pouvoir fusionner, mais quand ça arrive c’est à ce moment là que soit je fuis, soit il fuit. Peut être que c’est pas le bon ou que je donne trop d’amour … c’est sûrement à moi-même que je dois donner tout cet amour ! Merci pour l’article, ça nourrit mes réflexions ^^
À savoir si on couche avec qqun sans être unis dans les liens du mariage, il y a grande possibilité qu’ un jour ou un autre cette personne parte.
@Tlsnatgeo
Genre parce que la signature d’un contrat de mariage protège de ce genre de choses…
lol ?
« Arrêter », « aimer… sans », » luttes, de sacrifices, de concessions », « arrêtons », « doit vous permettre », etc, ce n’est pas le champs lexical de la satisfaction que vous entonnez là, c’est le moins que l’on puisse dire. Je vous souhaite plus de douceur,, de compréhension, de satisfactions et d’apaisements sur vos MEAUX.
Moi aussi ces MAUX ont graffiger mes yeux
Bonjour, et merci pour cet article.
Bien moi j’ ai vécu une experience avec une femme a Marseille chez qui je suis resté XI mois.
Au départ j’ étais sensé avoir été invité par cette femme a passer quelques semaines chez ell, mais nous étions tellement bien ensemble, très complice et fusionnel, que nous sommes resté comme ça pendant XI mois.
Ce qui a tout gaché,, ( elle était divorcé avec III enfants don le père avait la garde,) mais voila que l’ ainé de ces enfants XVII ans esst venu vivre chez sa mère. Ce jeune con très exigent, capricieux, égoiste, fainéant, , etc..était e réalité qu’ un odieux personnage qui nous en a fait voir de toutes les couleurs.
Sa mère n’ ayant aucune autorité sur ce jeune con, ( pas plus que sur ses autres enfants,)…. Au final ce n’ était plus le fils qui vivait chez sa mère, mais la mère,( donc mon amie) qui vivait chez son fils. (Et moi également par la source des chose).
Cela m’ avait déstabilisé, son fils étant de plus en plus emmerdant, il a fini par me donner soif….
Vers la mie- Janvier 2016 j’ avais préparé mon amie en lui parlant de mon départ. Elle m’ avait supplié de rester jusqu’ a la date de son anniversaire le 24 Février. en fait, elle avait espoir qu’ entre temps je revienne sur ma décision, car mon départ lui faisaait peur, vu qu’ elle ne supportait pas de vivre seule. Sur cet entre-fait, le VI Février nous avons été au Dome au concert de J.allyday. Lorsque Johnny a vait entamé l’ intro de la chanson QUE JE T’ AIME, mon amie m’ avait pris la main et c’ était mise a chanter du début a la fin de la chanson, et la fin de l’ interpétationde Johnny m’ avit embrassé sous l » oreille.
Cela m’ avait un peu plus déstabilisé, et le lendemain en regardant des vidéos sur internet la chanson en question etant revenue parmis les titres, elle avait enfoncer le clou en me disante texdtuellement ceci: ( J’ aime bien cette chanson, elle me fait penser a nous, c’ est NOTRE chanson).
Ne sotant pas avec elle, e ayant le projet de rentrer chez moi, je n’ avais pas envie de m’ engager une relation a la QUE JE T’AIME avec elle.
Alors avec le recul, je me pose la questio suivante: N’ auarit elle pas agie de la sorte pour que j’ enchaine a ce que nous ayons une relation de manière a me garder près d’ elle ?….
Mais de toutes façons je ne serais pas rester chez elle, quatre-vongt pour cent a cause de son fils…..
J’ ai quitté cette poersonne un mois jour pour jour après le concert de Johnny, et relation ou pas, je ne serais pas resté un jour de plus.
En grande partie a cause de son con de fils, et un peu aussi du fait qu’ elle manquait un peu de transparence a mon égard lorsqu’ elle me parlait de certaine choses de sa vie.
Je ne lui avais jamais posé de question, tout ce que j’ avais appris la concernant c’ est elle qui me l’ avait confié de son plein gré.
Mais concernat saa vie, soit elle m’ en avait trop dit, ou bien pas assez.
J’ avais remarqué qu’ elle jurait souvent, ( et qui plus est, sur la tete de ses enfants,) afin de me faire avaler le plus gros mensonge.
Lorsqu’ une poersonne me raconte sa vie,, soit elle me dit tout, et SURTOUT sans mentir, ou bien alors je préfère qu’ elle ferme sa gueule.
Depuis que je l’ ai quitté, je n’ ai plus eu aucun contact avec elle, mais j’ ai des nouvelles par personne interposées, car j’ ai gardé le contact avec une connaissance que nous avions en commun.
Je saais que depuis mon départ, ( je rappele que cette femme ne supporte pas de vivre seule,) elle a fait au moins trois séjours dans la clinique addictologique dans laquelle j’ avais fait sa connaissance, et qu » elle aa été renié par ses enfants.
Bref, de toutes façons a présent cela ne me concerne plus, et en plus je m’ en fout !
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Le résultat de cette histoire c est que cette personne a Homicidé mon ame, et qu’ a présent je fout de tout, ( du moins tout ce qui e me concerne pas directement,) et que je ne m’ attache plus a personne, je n’ aime plus personne, je n’ aide plus personne, je ne rend plus aucun service a personne.
Je ne suis pas heureux, mais je ne suis pas malheureux non-plus, car plus personne ne peut me faire souffrir.
Quelques semaines après avoir quitté mon amie, j’ avais été hospitalisé en REA, et les médecins m’ avaient placé en coma artificiel, vu que ma séparation avec cette femme m’ avait donné soif.
Afin d’ éviter des hospitalisations avec pronostic vitaal engagé, je ne dois plus m’ attaché a personne, et ne plus éprouver aucun sentiments envers personne. MA VIE EN DEPEND.
Bin a vous.
» j’aime, avec ma liberté, la sienne, parfois j’ai le le doux sentiment que cela nous unie! «
« On sait ce que l on a mais on ne sait pas sur quoi on peut tomber » n est pas un guide pour une vie médiocre… mais plutôt l art d avoir trouver le bonheur dans ce que l on a et non ce a quoi on rêve, je ne trouve décidément jamais d articles qui prônent le dialogue et surtout de décider d etre heureux avec ce que l on a , pourquoi vanter les mérites de ceux qui ont « le courage » (ou la lâcheté ) de fuir pour avoir ce que l on « mérite » ou » veut »pour satisfaire la racine de toutes les souffrances, notre cher ego ?
C est une mode sociétale de tout plaquer pour tout recommencer, moi j admirerai toujours ces êtres éveillés qui se contentent de ce qu ils vivent malgre les difficultés, vous savez une femme de 75 ans incroyablement paisible me disait un jour à ma question » comment avez vous fais pour rester unis 50 ans » elle repondit : car nous nous choisissons depuis toujours et lors de nos périodes de doutes nous choisissons de rester pour les choses que nous faisons de bien l un pour l autre et ne nous quittons pas pour ce que nous faisons de moins bien certainement…
J ai trouvé ca tellement vrai et magnifique, le bonheur ca se décide , mais pour cela il faut avoir une certaine maturité émotionnelle…
Quand la passion s’assemble à la patience ! ?
Mais que l’esprit évolue hors de la passion et hors de la patience !?
moi, je suis mariée depuis57 ans et j’ai été élevée avec une assez grande liberté tout en étant contrôlé par ma mère, j’ai vécu une enfance et jeunesse très heureuse,je ne savais pas dce qu’était un homme,et quand j’ai sorti avec un….. ben moi qui ne savais pas ce qu’était une relation sexuelle je me suis retrouvée enceinte,bref mariage, ménage,ça a fonctinné quelque temps et de plus en plus je me faisais engueuler « » » »j’étais sale, je ne savais rien faire ou ce n’était pas bien fait, et les reproches se sont accumulés, encore maintenant car « » »ménage +1personne c’ets pire car plus rien ne convient, il me méprise , me sermone pour un oui ou non, je suis restée sur le cul car je me demande ce que je fais de mal!!!!!!