La sagesse commence par l’acceptation de l’inévitable et se poursuit par la juste transformation de ce qui peut l’être.
Frédéric Lenoir
La puissance de l’acceptation !
Quand nous n’acceptons pas une situation, quelle qu’elle soit ; une maladie, une perte financière, le corps que nous avons, une relation qui a pris fin ; nous créons une résistance.
La résistance se manifeste sous forme de colère, de sentiments d’impuissance, de dévalorisation, de blessure, de non-conformité, etc.
En créant une telle résistance, nous bloquons le flux d’énergie lié à cette situation.
Imaginez une rivière coulant librement, et soudain un barrage est érigé.
L’eau s’arrêtera là ; elle s’accumulera de plus en plus, créant une pression, beaucoup de pression, jusqu’à ce qu’elle brise le barrage, faisant ainsi de nombreux dégâts, car la force détruira tout ce qui viendra ensuite.
La même chose se produit lorsque nous entrons dans la résistance. On augmente les charges et du coup le « barrage » peut être « rompu » sous la forme d’une maladie dans un état beaucoup plus avancé, une perte beaucoup plus grande, une dépression ou une crise de panique.
L’énergie doit circuler comme une rivière où les eaux suivent leur écoulement naturel, contournant les obstacles jusqu’à ce qu’elles atteignent leur destination : l’océan !
C’est donc avec nous et notre destination est l’amplitude de notre être en phase avec le cosmos.
Même si la marche est semée d’obstacles, ne résistez pas.
Laissez l’eau s’écouler librement, sans résistance ; jusqu’au bon moment, elle peut aussi se déverser dans l’énergie cosmique universelle infinie, consciente de notre lumière, manifestation de notre essence.
Acceptez! Lâchez prise ! Apprenez à couler comme l’eau de la rivière.
C’est se libérer!
Sandra Véringa pour ESM
La force d’un individu se résume à l’acceptation de ses blessures, afin d’en faire une force que nulle ne peut briser. Car pour être en accord avec soi-même, il faut prendre à bras-le-corps, cette obscurité qui gît au fond de notre âme. Sans cela, nous ne vivons pas l’existence que nous méritons, nous arpentons sans cesse le passé, qui ne peut nous conduire sur le chemin qui nous est prédestiné.
Inconnu