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Une recherche suggère que la conscience survit à la mort du corps

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Il se peut que la question la plus importante de tous les temps soit, « qu’est-ce qui nous arrive lorsque nous mourons? ».

Bien que plusieurs individus, religions et traditions spirituelles en soient venus à leurs propres conclusions sur la nature éternelle de l’âme, il faut déployer une grande foi pour être certain de l’au-delà. Pour l’esprit scientifique, cela ne suffit pas, et la question ressemble plutôt à, « qu’est-ce qui arrive à la conscience humaine après la mort clinique? »

Une équipe de chercheurs à l’Université de Southampton au Royaume-Uni a récemment mené l’une des études les plus importantes jamais réalisées sur ce qui se passe au niveau de la conscience après la mort.

La conclusion: Nous ne savons toujours pas ce qui nous attend, mais la conscience et la sensibilisation semblent persister pendant un certain temps après la mort physique; ce qui suggère que la conscience et le corps sont enchevêtrés d’une certaine manière, et qu’ils peuvent se dénouer et suivre des chemins séparés après ce que nous appelons communément la « mort ».

« En quatre ans, les scientifiques de l’Université de Southampton ont examiné plus de 2 000 personnes qui ont fait un arrêt cardiaque dans 15 hôpitaux du Royaume-Uni, États-Unis et Autriche.

Et ils ont constaté que près de 40 pour cent des survivants décrivaient une sorte de « conscience » durant le temps où ils étaient cliniquement morts, avant que leurs cœurs redémarrent à nouveau ».

[1]

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Une nouvelle recherche confirme que la conscience survit à la mort du corps

Nous sommes habitués à concevoir cette question en termes d’ « expériences de mort imminente », et ce sont de vagues hypothèses très peu scientifiques, par leur nature même, ces expériences sont entièrement subjectives et difficilement qualifiables. Tentant de donner un regard plus objectif sur ce qui se passe à l’intérieur de l’esprit / conscience de la moindre parcelle notre être, l’équipe multi-disciplinaire a été dirigée par le Dr Sam Parnia, qui dans une interview liée à l’étude a indiqué:

« Les preuves recueillies jusque-là indiquent qu’au cours des premières minutes qui suivent la mort, la conscience n’est pas réduite à néant. Nous ne savons pas si la conscience s’estompe par la suite, mais ce qui est sûr, c’est que la conscience ne se perd pas. Nous savons que le cerveau ne peut pas fonctionner lorsque le cœur cesse de battre. Mais, dans ce cas, la conscience consciente semble s’être poursuivie pendant trois minutes dans la période où le cœur ne battait pas, bien que le cerveau s’immobilise généralement entre 20-30 secondes après que le cœur a cessé de battre. Il s’agit là d’une importante constatation, car on a souvent supposé que les expériences relatives à la mort sont des hallucinations ou des illusions probables, survenant soit avant que le cœur s’arrête ou après qu’il a redémarré avec succès; mais aucune expérience ne correspond à des événements « réels » lorsque le cœur ne bat pas. En outre, les souvenirs détaillés de la conscience visuelle dans ce cas étaient compatibles aux circonstances confirmées ».

Les scientifiques admettent qu’ils n’ont toujours pas la moindre idée de ce qui se passe avec la conscience humaine après la mort, même si l’étude donne des preuves concrètes sur la capacité de notre conscience à survivre les premières minutes de la mort corporelle et maintenir une vigilance suffisante pour observer d’une certaine manière le corps cliniquement mort et ses environs en attente d’une réanimation.

La recherche est une indication scientifique que la conscience survit à la mort clinique, et bien que ces données ne soient concluantes, il est certain que l’étude ouvre la voie à une compréhension croissante de la relation entre le corps et l’esprit. L’interconnexion entre la science et l’esprit pourrait être plus proche que jamais.

Sources Une nouvelle recherche confirme que la conscience survit à la mort du corps :

[1] – https://www.telegraph.co.uk/news/science/science-news/11144442/First-hint-of-life-after-death-in-biggest-ever-scientific-study.html

[2] – https://bioethics.georgetown.edu/2015/07/consciousness-after-clinical-death-the-biggest-ever-scientific-study-published/

Sandra Véringa
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Publié par Sandra Véringa

J’ai rejoint l’équipe ESM en 2014. Il y a beaucoup de choses qui se passent sur la planète qui vont à l’encontre de mes valeurs, j’ai voulu faire de mon mieux pour jouer un rôle dans la création de changements. Depuis que je travaille pour ESM, il y a eu de grands changements dans ma vie et j’espère pouvoir sensibiliser et faire changer la mentalité de notre société.

11 Commentaires

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  1. Je souhaite témoigner et vous offrir mon expérience vécue dans les deux derniers jours de mon père, cela pourrait être une aide pour chacun de nous dans les tourments à venir.

    Cela se passe en aout 2013, pendant l’organisation d’une retraite de Yoga de 15 jours, mon père entre à l’hôpital pour qu’on lui enlève une tumeur trouvée dans le ventre…

    Le 19 dans la nuit je reçois un message de mon frère qui est sur Nice et qui me dit que les marqueurs du foie s’écroulent pour mon père et que je devrais venir à Nice le voir.
    Quand j’arrive à l’hôpital L’archet 2, mon père est au second sous-sol, en réanimation.
    Le choc en arrivant est dur, les larmes coulent, il est jaune citron un peu vert…
    La doctoresse, demande à nous parler et nous annonce avec une infinie bonté et douceur que notre père est à la fin de sa vie, le foie et les reins ne travaillent plus du tout.
    La tumeur dans le colon a métastasée le foie en totalité, le foie s’est arrêté en premier puis les riens, c’est fini…
    Elle nous propose de le mettre dans une chambre à part pour avoir plus d’intimité.
    Il est mis dans une salle de réanimation, tous les appareils électroniques crépitent autour de lui.
    La salle est froide, sans fenêtre sur l’extérieur, sans vie elle n’a pas servie depuis longtemps et de ce fait sert un peu de débarras, mais elle est propre et relativement bien rangée.
    On peut se poser la question du pourquoi l’hôpital CHU l’archet 2, construit sur une belle colline dominant la mer avec une vue si belle et paisible, n’a pas pensé organiser une salle pour ceux qui sont en partance et bénéficier du calme et la lumière du large et du ciel bleu ?
    Les heures passent les constantes de mon père restent stables, il est costaud, musclé par des années d’entrepreneur de maçonnerie, il semble si fort, si jeune encore, si beau…

    Si l’ambiance de la salle est assez désastreuse, les infirmières et les infirmiers sont extraordinaires de gentillesse et d’humanité, toute ma famille les remercie chaleureusement.
    Dans la soirée, l’infirmière en chef nous dit : « Votre père est admirable, c’est un être d’une très grande élégance, il ne se plaint jamais, il essaye de nous aider constamment, il serait triste de l’entendre gémir car il commence à avoir le masque de la douleur, parlez entre vous et si vous voulez on peut mettre un peu de morphine pour qu’il ne souffre pas ».

    J’en parle avec mon frère, je me dis qu’il ne faut pas atténuer la conscience et la phrase de la Bhagavad-Gītā revient à mes oreilles dans la scène où Krishna dit à Arjuna sur le champ de bataille Kurukshetra : « Penses-tu qu’une flèche, une lance puisse anéantir l’âme qui est éternelle ? »
    Alors on prend la décision de lui donner un peu de morphine.
    Par moment le chagrin me submerge, mais je reste fort dans la conscience en connexion avec mon père.
    Mon frère part dormir un peu.
    Je suis là avec ma mère.
    Vers 11 heures du matin les infirmières demandent que nous sortions de la chambre pour faire un soin à mon père.
    On monte au rez-de-chaussée boire un café et manger quelque chose.
    On redescend 30 minutes après, en entrant dans le couloir, un infirmier me dit qu’il n’est plus là.
    Je rentre dans la chambre, soutient ma mère qui s’écroule un peu. Je lui dis que c’est souvent ainsi, les gens partent dans un moment où ils sont seuls, il aura été sublimement pudique jusqu’au bout…
    Je suis en conscience avec mon père depuis des heures et là, devant moi le corps ne respire plus, les machines ne fonctionnent plus, il n’y a plus rien…
    J’écoute dans son corps, rien ne bouge, rien ne semble avoir lieu. Il y a comme une suspension totale.
    Avec mon frère on prend la décision d’aller appeler la famille et les amis, on remonte au rez-de-chaussée.
    La charge émotionnelle est forte, mon père était un être généreux, intelligent et calme, aimé de tous les gens qui l’on rencontré dans son existence.
    Après plus d’une heure, je décide de redescendre au second sous-sol.

    J’entre dans le couloir pour aller à la chambre et là l’âme de mon père s’accroche à moi !
    Il m’a pris par le bras gauche et se blottit contre moi, apeuré

    Je ne suis plus dans l’émotion, et le mental est coupé depuis des jours grâce à la pratique du Yoga.
    La perception n’a rien de mentale ou imaginaire, elle est absolue est sans appel.
    Il est là contre moi, un peu apeuré et heureux de me retrouver.
    Mes jambes vacillent sous la charge, je ne m’attendais pas à cela, d’autant qu’un peu plus d’une heure avant tout était très calme.

    Alors je parle à mon père à voix haute, comme si je lui parlais de son vivant.
    « Papa, tu as été un homme merveilleux et calme tu n’as rien à craindre, tu es lumineux, reste calme et va vers la lumière »
    En même temps je demande à ce qu’il soit aidé dans ce passage et en fermant les yeux, je vois un axe vertical, blanc et tout devient léger avec une très belle lumière tout en haut, douce, céleste.
    Comme la sensation qu’il a perdu les couches lourdes de l’existence et qu’il a retrouvé sa pleine lumière, mon cœur devient léger, j’ai la sensation alors que mon père est juste dans une pièce à coté…

    Il y a des choses à faire, tout le monde s’active et parle, la gestion de la vie reprend ses droits…
    Me voilà assez rapidement dans la voiture et d’un coup un doute s’installe, une peur.
    Je me dis que je n’ai pas assez pris de temps pour bien écouter si effectivement il n’est plus en train d’errer dans les couloirs de la réa.
    Mon cœur me dit que tout est léger et lumineux, mais le mental est revenu en force avec ses doutes…
    Je fais alors confiance en la vie, en la lumière et m’en remet à elle, car de toute évidence tout cela nous dépasse.

    Je reviens dans le lieu de la retraite après un repas partagé chez mon frère.
    Je sens en chacun de vous combien vous aussi vous avez été touché par la disparition d’êtres chers et combien nous sommes égaux dans cette réalité de nos existences.

    7 jours après, lors d’un sommeil un peu agité, mon père est revenu me voir sous la forme d’un être libre de toute forme humaine, c’était magnifique !
    J’ai vu l’être céleste que nous sommes tous, une grande boule blanche, lumineuse. J’ai essayé de prendre mon père dans les bras, mais on saisit difficilement de l’énergie…
    Sa présence était magnifique !!
    7 jours après il est revenu de la même manière, en me tapotant sur l’épaule…

    J’ai tant de gratitude pour toi !
    Continue ton chemin dans la lumière, nous nous rencontrerons encore.

    Merci pour tout !

    • Merci pour votre témoignage si bouleversant! Moi je viens de vivre la descente aux enfers de ma maman 7 années durant qui en plus d’autres pathologie a vécu la destruction de sa pensée, de ses repères spatio-temporels et de sa mémoire, , la destruction de son langage verbal, enfin toute sa capacité à se relier de façon habituelle devenue impossible à cause de cette terrible maladie d’Alzheimer (que j’ai du ma à dire ce nom…). MAIS je l’ai accompagnée jusqu’à son dernier souffle et ce fut un vrai cadeau pour nous deux: de tendres relations qui n’avaient jamais existé ont pu se tisser par le toucher, le regard, les petites promenades et des instants complices. j’étais présente jusqu’au bout et voici ce qui est arrivé quelques heures avant que son cœur ne s’arrête : je venais de prier tout haut avec ma fille et ma sœur lorsque soudain maman qui depuis des semaines n’avait plus vraiment de regard, ses yeux étant soit fermés, soit figés, s’est mise à soulever son bras très faiblement, à me frôler la joue droite, et A ME REGARDER VRAIMENT, INTENTIONNELLEMENT avec une grande douceur alors que son cerveau était mort, et j’ai perçu télépathiquement cette pensée émanant d’elle »Merci ma chérie d’être là près de moi, à Dieu merci encore de m’avoir entourée! »! Je n’en revenais pas et là j’ai vraiment su que c’était SA CONSCIENCE qui avait fait s’ouvrir son regard et plus son cerveau qui ne commandait plus rien tant elle était handicapée, le corps violacé, toute ses fonctions vitales presque éteintes. Elle a respiré encore faiblement pendant environ 1heure et demi et s’est en allée près des Anges… Cela me bouleverse toujours de repenser à sa fin de viel Elle s’appelait Madeleine.

  2. Bonjour,

    Cet article est fort intéressant car il apporte l’une des réponses à un bon nombre de personnes ayant besoin de connaître l’avis des scientifiques, et le fait qu’une étude ait été menée sur ce qui arrive à la conscience humaine après la mort clinique va éclairer les consciences.

    Toutefois, si vous souhaitez savoir ce qui vous attend après votre décès ?
    Lisez notre recueil !

    Nous ne sommes pas scientifiques mais nous sommes en lien avec l’Au-delà, le monde des âmes…
    Nous vous apportons des réponses fiables, claires et sérieuses.

    Rejoignez notre page Facebook « Philippe Baujon » : Une publication présentant notre ouvrage vous y attend.

    A tout de suite !
    .Elisabeth et Philippe Baujon.

  3. Denis, merci pour votre témoignage . Très beau .
    Cela me fait du bien, car j’ai moi même perdu un être cher ,
    Il y a trois mois. Mon frère , qui s’est suicidé .
    je pense aussi, qu’il y a autre chose après la mort.
    Je sent parfois sa présence. Merci .

  4. Vous avez choisi les passages qui vous arranges dans l’étude et en avez oublié d’autres. Les personnes ne sont pas morte. La mort est décrété quand il y a arrêt de l’activité cérébrale. La ce n’est pas le cas, C’est le coeur qui est arrêté et, de toute manière, si elle mourrait… et bien il n’y aurai tout simplement pas de témoignage ensuite, donc pas mort.
    Ensuite, l’étude de Parnia avait surtout consister a cacher des messages matériels dans les salles d’hopitaux, et les personnes qui prétendent sortir de leur corps devait alors pouvoir énoncé ces messages…
    AUCUN n’a réussi à le faire.
    Conclusion = jusqu’a preuve du contraire, il n’y a pas de survie de la conscience.

    • Florian Olivier, vos commentaires sont très durs!

      Si vous aimez mieux penser qu’il n’y a rien avant ni après cette vie, je vous souhaite d’en avoir une belle!

      Des enfants meurent dans le ventre de leur mère ou décèdent peu de temps après leur naissance ou naissent avec des handicaps. Des gens en arrachent toute leur vie ou, au contraire, vivent le paradis sur terre. S’il n’y a rien avant ou après, comment expliquer ces injustices???

      Même si c’est pas scientifique, j’aime mieux croire la possibilité de la vie après la vie … et le retour dans cette vie si le moment n’est pas venu … Mon mari a fait des allers-retours … avant de quitter pour toujours ce corps devenu non-fonctionnel … et ne m’empêchez pas de croire qu’il reviendra, si ce n’est déjà fait …

  5. Quand la science s’intéresse aux EMI.
    Une lumière blanche, la sensation de sortir de son corps, un état de bien-être absolu… les témoins d’expériences de mort imminente racontent des histoires extraordinaires ! Ces histoires intéressent les chercheurs du Coma Science Group de l’Université de Liège. Au-delà et dans le respect des croyances de chacun, les chercheurs veulent comprendre les phénomènes qui se produisent aux frontières de la mort cérébrale.
    NB: Steven Laureys travaille régulièrement avec Matthieu Ricard pour étudier les états de conscience modifiés et la métditation 😉
    https://www.tvlux.be/video/autre/sante/a-votre-tour-dy-voir-n9-conscience-et-experience-de-la-mort-imminente_20854.html

  6. lorsque l’on a connu cette sensation de sortir de son corps et que celui-ci tombe comme une masse, c’est une sensation extraordinaire de légèreté!!

  7. J’espère mais j’en ai la certitude que cet au-delà existe. Hors du temps et de l’espace , qu’elle sensation extraordinaire pour une personne l’ayant attendu de la découvrir et d’y parvenir enfin .
    Je suis vivant mais j’avoue qu’il me tarde .

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